Prénom : Tugdual, aussi « La valeur du peuple »,on dit que tu le portes mal, trop dur pour un floriniums
Age : 30 ans, mais tu en fais cinq de moins. Pas à cause d’un pacte  mais par les trois mille produits que tu étales sur ta peau.
Groupe : Florinums fliés
Métier Entremetteur amoureux à ses heures perdues,  mais organisateurs d’événements non officiel le reste du temps, pour des naissances, anniversaires, tout est possible quand on en paie le prix
Quartier d'habitation : Evénos, tu y es né et tu y resteras probablement jusqu’à ta mort. Comme tes parents
Fleur : Le houblon, le symbole d’injustice
Orientation : Pansexuelle, cœur d’artichaut, tu tombes dans les filets du premier venu qui te donne de l’attention et tu t’enfuies aux moindres doutes. Toi qui recherche l’amour éternel, tu finis par n’avoir que de l’affection éphémère. Si jeune tu ne donnais entièrement, aujourd’hui tu mets bien plus de réserve


Passions :L’amour, plus celui des autres que le sien. Tu aimes ces histoires passionnées, ces drames ordinaires. Mais les amours que tu préfères sont ceux de Cassiopée, à son grand malheur. Tu es friand des symboles de cette fête que ce soit de ton peuple et ceux des humains. Tu tentes d’ailleurs, un peu en vain, de faire une copie assez maladroite du mariage humain pour les florinums. Juste pour les robes.

Cassiopée, si l’on peut avoir une passion pour une personne. S’il ne s’agit pas d’amour, il est évident que votre lien ineffable y est pour quelque chose. Tu résumes cet amour filiale que tu deviendrais humain pour elle si elle le désirait, pour donner un rein ou ce genre de choses. Mais tu te gardes de lui dire et tu t’amuses à la critiquer pour rien. Par amour.

Les commérages, tu aimes savoir des informations futiles sur autrui et tu te diverties de leurs discordes et leurs joies. Si tu es muet comme une tombe pour les secrets, ils rendent ta vie un peu plus belle.
Les plantes, comme tout bon florinum. Tu les préfères à ta manière et tu les trouves belles, sauf les flanimaux. Tu remercies ainsi les produits de beauté qui provient de la végétation, principalement
L’eau et le monde aquatique. Un monde silencieux, plus beau que la surface. Elle coule contre ta peau qui la rend luisante et tu aimes cette sensation de présence inconditionnelle.  


Phobies :
L’alcool, un comble au vue de ta fleur, mais tu n’apprécies pas la perte de contrôle, alors autant que tu peux, tu l’esquives avec panache pour ne pas dire en faisant une scène.
Les flanimaux, mais plus particulièrement les moustiques. Echo à ton passée de solitude, ce serait sans doute l’unique raison pour laquelle tu pourrais envier les humains.


Parfum préféré : Le jasmin, plante de ta défunte mère.
Flanimal préféré : L’'Axolotl est le flanimal que tu détestes le moins. L’eau et ton élément et lui aussi le comprends.
Tics : Appelle tout le monde mon bichon ou ma bichette si tu n’as aucun respect pour la personne.
Pleure devant tous les films humains, sans exception pour des détails dérisoires.
Shippe n’importe quelle personne avec qui  tu es un peu proche avec quelqu’un d’autre.
Te fait des tresses dans tu es stressé.

Style vestimentaire : Des tenues amples et des toges, tu apprécies disparaitre dans tes vêtements. Ton genre en parait encore plus flou et cela t’amuse bien plus que de raisons.  Les couleurs claires et légères sont tes meilleures alliées.


feat :  Lancer- Fate/Strange Fake



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Funfacts ; Le peuple bouillonne, comme ton cœur. Tu es un homme émotif et tu ne l’as jamais caché. Tes émotions sont sulfureuses, elles s’écoulent comme du magma en fusion. Il n’y a pas de demi-mesure avec toi. Tu hais à en tuer, tu aimes à en crever. Tout le monde se rappelle du jour où tu avais mis malencontreusement des herbes laxatives à l’un de tes exs pour t’avoir brisé le cœur. Tu le racontes toujours avec le sourire.

Tu es rancunier, si on dit qu’un plat se mange froid, toi tu le manges congelé. Tu n’oublies rien, encore plus si cela concerne tes blessures d’égo. Tu gardes encore de la rancœur contre la voisine qui a osé se plaindre que tu parlais trop fort dans ta prime jeunesse. Malgré tout tu peux être miséricordieux pour les personnes que tu aimes si la raison te parait légitime.

Si autant tu peux être quelqu’un de très demandant auprès de tes proches, tu es en échange d’une loyauté sans faille. Tu serais capable d’enterrer un cadavre pour quelqu’un. C’était ce que tu as déjà fait, enfin d’un flanimal de compagnie.

Tu peux sembler être quelqu’un d’assez égocentrique et d’un peu je-sais-tout, mais tu peux aussi être quelqu’un d’assez attentif quand tu le veux. Tu t’intéresses à pleins de sujets différents ce qui fait que tu as la conversation plutôt facile. Tu as ainsi une connaissance assez pointue du rugby international. Cela ne sert à rien mais tu aimes bien frimer là-dessus.

Tu es très friand de la culture humaine et Cassiopée répond à ce besoin à merveille. Cela est peut-être dû à ton père humain, mais tu rêves des fois de le devenir, jusqu’à que tu te rappelles  que les flaminaux seraient ainsi tout petits et que tu ne pourrais plus les voir pour les esquiver.

Tu adores autant fouiner dans les affaires des autres que faire des scandales. Pourtant, tu es quelqu’un qui apprécie aussi être seul devant une infusion et un masque tonifiant. Tu peux passer des heures à te pouponner sans sortir de chez toi.

Même si tu peux paraître très féminin et délicats, ta voix ne trompe personne et tu n’as pas vraiment peur de te salir. Tu es quelqu’un de bricoleur et tu fais tes décorations toi-même et cela t’amuse tellement.






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histoire : Le monde est injuste, tu l’as compris assez rapidement, Tugdual.

Tu es né d’amour, mais tu ne te rappelles pas du visage de tes parents. Il ne te reste que l’odeur florale de ta mère lorsque que tu allumes ta bougie tous les matins. Tu es né d’un amour hybride, d’un amour qui transcende les tailles et les races. Tu le sais, tes grands-parents te l’on dit encore et encore. Tu sais aussi que c’était de merveilleuses années en leur compagnie, mais tu ne savais pas encore faire de phrases qu’ils n’étaient déjà plus là.

Piqûre de moustique, on t’a dit. Ils étaient partis comme tous les matins sur l’étang, peut-être un peu plus loin qu’à leur habitude, trop loin sans doute. A vrai dire, ils étaient même probables qu’ils étaient allés encore plus loin. Tu n’as que les histoires pour toi Tugdual, les histoires de tes ancêtres, les histoires des voisins qu’ils les ont retrouvés, les histoires qui ne peuvent pas être la vérité.

Encore aujourd’hui, tu as du mal à l’accepter, tu préfères croire qu’ils ont fait un pacte avec Nemis pour vivre dans le monde des humains en te laissant là, parce que tu étais trop jeune et qu’ils n’avaient trouvé personne d’assez bête pour échanger sa race avec la tienne. Si ce discours pouvait tenir dans ta tête d’enfants, maintenant que tu es adulte cela te semble risible.

Mais il semble que c’est ainsi que tu as nourri ton obsession pour le monde humain au tout début. Quand tu as commencé à être plus libre de tes mouvements et à pouvoir poser des questions, tu es venu à interroger ceux qui n’étaient pas les tiens qui venaient quelques fois. Tu te rappelles particulièrement de cette femme. Tu as 7 ans et tu la trouves jolie. Elle répond à tout, même aux questions que tu n’oses pas demander à ta grand-mère. Tu l’aimes bien cette femme et son ventre rebondie. Elle attend que sa fleur éclose, enfin plutôt l’équivalent chez les humains. Cela t’a émerveillé, mais tu n’as pas encore les mots. Tu es l’enfant sans parent, l’enfant aimé dans le passé. Malgré l’amour inconditionnel de tes grand-parents, tu as ce creux en toi. Tu trouves beaux que les humains puissent porter leur fleur, mais tu trouves encore plus beau ce lien magique qui lie les chairs. Elle te parle de la manière des humains à se promettre jusqu’à la mort.

Alors tu as rêvé d'aimer, d'aimer un humain. Tu as grandi dans les histoires d’amour pur de tes parents aux filiens ineffables et tu aurais voulu ça si tu ne pouvais pas les avoir. Tu as tenté plusieurs fois de passer par la souche, pour chercher de toi-même cette personne si particulière. Tu t’es fait surprendre par les gardiens plusieurs fois, rien qu’une fois, tu as pu voir la ville au loin ou c’est ce que tu racontes pour te donner bonne confiance. A partir de là on ne t’avait plus jamais laissé autant d’espace. Tu ne pouvais pas trouver cette personne spéciale, alors tu t’es désespéré.

Tu as grandi comme tes cheveux que tu refuses de couper, parce que tu as entendu qu’elle ressemblait à ceux de ta mère. Si tu n’as pas tes parents, pas d’amour, alors on peut te laisser cela. Tu as grandi, mais tu as gardé tes traits juvéniles alors que ta voix est devenue caverne. Tu as quatorze ans et si tu ne parles pas, on te prend pour une demoiselle. C’est à cet âge où tu lies tes lèvres pour la première fois, juste pour voir. Une fois deux fois, trois fois. Tu as testé encore et encore, pour savoir quand tu aurais ton humain. Peut-être aussi, parce que tu as cherché à remplir, ce creux en attendant ta belle histoire.

Mais un plus tard, on t’a rappelé que le monde était injuste.  

La belle humaine est revenue, comme elle revenait plusieurs fois durant toute ton enfance. Elle t’apportait des histoires et des objets de son monde que tu as gardé précieusement. La belle humaine est revenue, mais elle n’était pas seule. Elle a un petit être avec elle. Elle a un petit bourgeon qui ne sait pas encore qu’elle va vivre sa plus belle rencontre. Et toi aussi.

Un regard, un simple regard et tu as compris. Ce sentiment unique a comprimé ta poitrine. A l’instant où tu l’as vu, tu as su que, tu allais l’aimer jusqu’à ta mort. A l’instant où vos yeux se sont croisés, tu l’as détesté à un point inimaginable. Des larmes ont coulé tes joues et sur les siennes. Elle a n’a pas compris, mais toi si. Tu as su et tu as jeté cette pensée aux oubliettes une fraction de seconde. Ton visage en souffrance, il a fallu se rendre à l’évidence. Tu allais l’aimer de toute ton âme, ta fleur sur le sternum en serait la preuve éternelle, mais cet Amour ne finit pas en « ils eurent beaucoup d’enfants ». Tu n’auras pas l’histoire de tes parents, l’amour ne viendras pas du Destin.

Tu ne t’es jamais autant senti trahi par ta race.

Tu as rejeté cette enfant pendant une semaine. A fuir son regard et ses demandes. Car tu as su que tu vas succomber à cette bouille adorable. Si tu as été seule, son existence t’a donné une importance étrange. Un être à protéger, à guider. Tes grands-parents se faisaient vieux et tu as décidé de donner ton temps à la vie des autres. Tu organises leurs anniversaires, leur fiançailles, les fiançailles, pour que les liens se solidifient. Pour l’enfant que tu aimais plus que tout, tu lui as cherché l’amour pour qu’elle trouve son bonheur et pour te faire pardonner d’avoir gâché sa chance du destin.

Tu as 27 ans et les personnes dans ton lit se font de plus en plus rares. Tu les as tous aimés, mais cela n’était jamais assez. Humains ou florinums, la connexion que tu as cherchée n’est pas, alors tu as commencé à abandonner pour toi, mais tu le fais pour les autres. A parler d’Amour, tu en es devenu l’expert. Tu as su comment repérer les âmes similaires, plus à raison qu’à tort. Tu en as (presque) fait ton métier. Mais l’adolescente que tu aimes plus que tout est encore seule.

Tu as 30 ans et tes grands-parents sont morts. Leur temps est terminé et tu fêtes leurs morts dans un artifice. Tu es seul dans la maison familiale, personne avec qui tu pourrais échanger des vœux. Malgré tout, tu n’es pas triste. Tu as pleins de personne qui t’entoure et ceux même si tu pleures et que tu ris sans aucune raison. Parce que tu sais que quelque part, tu n’es jamais seul.

Ton filien faisait que tu peux être serein, même si le monde est injuste.

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Derrière l'écran : Summy, 26 ans ( je commence à toucher la vieillesse). La fatigue est une constante chez moi et j'aime le vert et les crocodiles. Je n'excelle pas dans les présentations aussi
Comment tu nous a découvert ? Un monde de fruit a rencontré les fleurs et l'amour a été une évidence ( partenariat BF)