Nom :  Adelean
Prénom : Noa
Age : 18 ans
Groupe : Humains
Métier : Pianiste aux études en pause
Quartier d'habitation : Blume
Orientation : Bi


Passions : La musique et l'observation des étoiles.
Phobies : La vue du sang et, plus récemment, la foule.
Parfum préféré : L'odeur de la pluie.
Flanimal préféré : La mésange.
Tics : Tu soupires facilement quand tu es agacé et perds patience.
Style vestimentaire : Tu portes souvent une chemise surmontée d'une veste, mais dès que tu peux te le permettre, tu mets des vêtements plus décontractés et plus larges. Tu as également des gants, courts et noirs, pour protéger tes doigts.


feat : Tartaglia || Genshin Impact



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Funfacts :
Ta rousseur t'a valu des sobriquets dans ton enfance et pourtant maintenant tu l'arbores fièrement. Tu aimes cette couleur qui se veut un peu rare et qui te met en avant. Tu as les cheveux de ta mère, roux et fins et lisses, et les yeux de ton père, grands et bleus, même si d'eux, tu ne veux plus rien.

Ta fierté te vient aussi de ton talent musical si bien travaillé pendant des années. Des heures et des heures de patience, dans une pièce paraissant trop petite à cause du piano qui s'y trouvait. Ton aisance dans ce domaine n'est pas inné et tu le sais. Tu as persévéré encore et toujours, animé par la volonté de faire plaisir à tes parents et par la mélodie de l'instrument que tu trouvais si élégante.

C'est peut-être le contact avec la musique qui t'a amené à être parfois à fleur de peu. Ta sensibilité et tes émotions transparaissent dans les notes que tu produis. Et quand tu ne touches pas un piano, c'est ton visage qui devient la toile de ce que tu ressens. Tu sais pourtant que tu devrais avoir une sorte de carapace autour de toi pour supporter au moins le stress des représentations, mais elle n'apparait que dans ces moments-là, comme si le stress te permettait de devenir un autre pendant un instant.

Tu te cherches encore, ne sachant pas vraiment qui tu es au fond de toi. Tu ressens parfois ta colère bouillir, ta joie rayonner, ta tristesse t’inonder, sans arriver à coordonner le tout. Tu as encore cette impression de n'être que la poupée dont les fils sont tirés par tes parents qui eux "savent ce qui est le mieux pour toi". Et toi, tu ne désires qu'une évasion pour goûter à la liberté et retrouver l'inspiration qui, elle, s'est échappée.






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histoire :
Né dans la capitale berlinoise, ta vie fut rythmée par un train de vie exigeant, décidé par tes parents. Ceux-ci étaient distingués et suffisamment riches pour accepter que leur petit dernier puisse suivre une voie différente, mais sur laquelle il t'orientèrent. Tu n'avais heureusement pas l'obligation de suivre les traces de ton paternel comme devait le faire ton ainé. Cependant, ils avaient malgré tout choisi pour toi en voyant ta passion naissante pour la musique. Tu fus très rapidement inscrit à des cours d'éveil à la musique. Quand tu touchas pour la première fois, le son de la note blanche sous ton doigt t'émerveilla. Tu prenais plaisir à ce que tu faisais, et tu étais un petit enfant ravi de faire plaisir à tes parents. Ce n'était donc pas grave si tu ratais quelques voyages scolaires parce que tu avais tes cours de piano. Ce n'était pas non un drame si tu voyais peu tes amis pendant les jours de congés parce que tu devais répéter pour des représentations. En revanche, ce qui était grave, c'était de t'abimer les mains. Tu n'en avais cure avant ce petit incident, mais quand la balle te foula le poignet et que ta mère t'engueula toi et l'enfant avec qui tu jouais, tu compris que ta passion était parfois beaucoup trop envahissante, mais surtout que tes parents attendaient beaucoup de toi.

Tu pouvais souffler pendant les mois d'été où tu partais en vacances près de la grande Forêt Noire. Tu vivais alors avec ta grand-mère qui prenait soin de toi pendant ton séjour à Blume. Tu n'avais plus besoin de jouer autant du piano. Tu pouvais respirer, t'aérer et profiter de la nature, si loin de Berlin, sa pollution et ses nuisances sonores. Tu aimais les histoires que ta grand-mère te racontait. Tu rêvais en effet de voir ses petits-êtres dont elle te parlait. Mais pour toi, ce n'était que des contes. Tu étais loin de te douter de leur véracité, même si au fil des étés, tu avais remarqués de points étranges, mais peut-être ta grand-mère aimait-elle les souris ? C'était ce que tu te disais.

Et puis vint ta dernière année de scolarité obligatoire avant de choisir ton futur. Elle fut un véritable calvaire. Pour le conservatoire de musique, la pression était énorme. Tes parents ne te lâchaient pas et tu ne comprenais pas pourquoi. Étaient-ils à ce point des maniaques du contrôle ? Tu te sentais étouffer chez toi, tellement que cela ne ressemblait plus à ta maison mais à une prison. Tes notes, d'ordinaires si stables, diminuèrent. Le son de ton piano était moins puissant. "Décevant" avait dit ton père. Une lame dans le cœur, la critique t'avait blessé. Tu peinais à te relever.

La note fatale fut le jour d'une représentation, celle qui devait être ta dernière avant d'étudier entièrement et pleinement cet art. Cependant, tu en fus incapable. La foule te paralysait soudain : les yeux sur toi qui allaient tous te juger, tous te dire "décevant" de cette voix grave emplie de désappointement. Tu ne voulais plus croiser les regards des autres, ni entendre leur remarque. L'angoisse s'empara de ton être. Le souffle te manqua. Incapable de jouer à ton tour, l'échec fut cuisant, mais le retour chez tes parents fut le pire. Ils ne comprenaient comment tu en étais arrivé là, toi qui étais pourtant si brillant à leur yeux. Et dans la dispute qui t'opposa à eux, tu leur livras ton sentiment d'emprisonnement, leur reprocha l'emprise qu'ils avaint sur ta vie. Tu ne voulais pas être dégouté de la musique à cause d'eux. Tu voulais pouvoir continuer à jouer, mais pour toi, pour ton plaisir et non pas par obligation. Tu ne savais pas si tu voulais étudier davantage la musique et devenir un pianiste de renom, car tu avais l'impression que ce serait pour eux et non pour toi. Tu préféras prendre de la distance avec eux et aller vivre chez ta grand-mère où tout semblait bien plus calme, sans te douter que ta vie allait prendre un tournant soudain, un renouveau étrange, une évasion tant désirée.


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Derrière l'écran :
Salut ! Moi, c'est Satsuki, 26 ans, aimant lire, écrire et jouer aux jeux vidéo. Et oui, ma grande passion du moment, c'est Genshin... J'ai succombé un jour où le ciel était bleu et... BREF Voilà ~
Comment tu nous a découvert ?
Je vous observais déjà lors de la V1 et quand j'ai songé à passer la porte, et bien, elle était fermée... Et puis Loup est venu me prévenir de la réouverture et me voilà !

(il est trop chou, je devais le mettre !)